Cette maladie, de privilégier financièrement les immigrés et de verser à toute cette pègre des sommes astronomiques au détriment des retraités et des français, est sidérante.  L’argent dont nous avons besoin pour les retraités, l’argent dont nous avons besoin pour le traitement de la Covid-19, l’argent dont nous avons besoin pour la restructuration de nos hôpitaux et l’argent dont nous avons besoin pour notre recherche scientifique, tout cela  est dilapidé par l’immense financement dédié à l’immigration. En plus de ça, pour des gens qui ne nous rapportent rien, qui détériorent nos valeurs et accroîent la criminalité. Autrement dit chacun de nous se voit dans l’incertitude d’être soigné correctement si malheur adviendrait à notre santé.

Dans un article que j’avais rédigé précédemment et qui faisait mention d’une dette de soins de l’Algérie de 6 milliards d’euros à la France, je faisais état  de cette somme non remboursée qui voisinait le trou financier de notre sécurité sociale. Il faut en effet rajouter à la dette migratoire, l’ardoise laissée par les citoyens algériens, qui viennent se faire soigner dans les hôpitaux français, en utilisant des visas de tourisme. Ils se présentent aux urgences qui ne refusent personne et repartent dans leur pays sans payer leurs frais médicaux. Cette somme, qui n’a jamais été rendue publique pour préserver la diplomatie chancelante entre les 2 pays, a été évoquée au parlement par Renaud Collard, sous-directeur des conventions internationales au Ministère des Affaires Étrangères le 18 mai 2010. Autrement dit si on  demandait à l’Algérie de nous rembourser immédiatement les soins non payés de ses ressortissants qui viennent se faire soigner gratuitement en France, nous comblerions le trou de notre sécurité sociale immédiatement. Il faut coûte que coûte que nos concitoyens comprennent que l’immigration nous coûte chère, très chère, voire même astronomiquement chère.  Tout cela est corollaire d’une politique qui se veut être de looser, de fourbes, d’inconscients et de minables ratés. Accepter que des flux migratoires rentrent chez nous par invasions incontrôlées n’est que le fruit d’irresponsables qui ne voient même pas le tort porté à la France en matière d’économie. Lors d’une séance au sénat, Monsieur Jean-Louis Masson  Sénateur n’appartenant à aucun groupe en fait un constat accablant.  Je vous laisse le loisir de l’écouter.

Jean-Philippe Mortier